Jessica Paradis MTS, TSI
Travailleuse Sociale Juridique Clinique
Jessica Paradis
Travailleuse Sociale Juridique Clinique
Jessica Paradis est titulaire d’un baccalauréat en psychologie (mineure en biologie) et d’un baccalauréat en travail social de l’Université de Moncton. Elle a également obtenu une maitrise en travail social de Dalhousie University. Elle est travailleuse sociale immatriculère depuis 2016 et membre du « National Institute of Forensic Social Work”
depuis 2019. Elle siège également en tant que membre de la Commission d’examens en vertu du Code Criminelle du Nouveau-Brunswick depuis 2020.
Jessica a de l’expérience dans le milieu de la santé mentale communautaire et de la psychiatrie légale. Elle se concentre sur des approches thérapeutiques fondées sur des preuves et elle pratique également des interventions individuelles, familiales et en coparentalité à haut niveau de conflit, conçues pour aider les parents qui vivent des conflits importants et continus après une séparation.
Jessica se spécialise en travail social juridique clinique; cela combine des éléments du travail social clinique avec des connaissances de la loi et du système légal pour répondre aux besoins complexes des personnes dans un contexte juridique. Certaines de ses formations dans ce milieu de pratique comprennent le Niveau 1 et le Niveau 2 en travail social juridique et l’entretien clinique juridique. Elle effectue des évaluations de la capacite parentale et a suivi une formation en évaluation de la capacité parentale dans le contexte d’un tribunal de protection de l’enfance. Son principal domaine d’intérêt concerne la menace et la violence et elle a suivi des formations sur différents outils d’évaluation et de gestion des risques, notamment : l’inventaire du niveau de service/gestion des cas (LS/CMI), la planification de la sécurité des victimes à l’aide du « ASAP ». En plus d’outils d’évaluation du risque pour différent type de violence : violence générale à l’aide du « HCR-20 », violence entre partenairesintimes à l’aide du « SARA » et du « B-SAFER », harcèlement à l’aide du « SAM »,